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L'impossibile ritorno al centro. Il cattolicesimo politico nella transizione dalla Prima alla Seconda Repubblica: il dibattito scientifico
In: Ventunesimo secolo: rivista di studi sulle transizioni, Heft 39, S. 46-65
ISSN: 1971-159X
Le strategie del conflitto. Lo scontro tra neofascismo e sinistra extraparlamentare nella crisi del centro-sinistra (1968-1972)
Dottorato di ricerca in Società, istituzioni e sistemi politici europei (19.-20. secolo)
BASE
˜Laœ delegittimazione politica nell'età contemporanea, 1, Nemici e avversari politici nell'Italia repubblicana
In: I libri di Viella 233
L'« Estate romana » contre le terrorisme; The "Estate romana" against terrorism; L'Estate romana contro il terrorismo
In: Laboratoire italien, Heft 22
ISSN: 2117-4970
Politiche della società civile; The politics of civil society; Politiques de la société civile
In: Laboratoire italien, Heft 22
ISSN: 2117-4970
Politiques de la société civile ; Politiche della società civile
Introduction au dossier du n°22 de Laboratoire italien ; International audience
BASE
Politiques de la société civile ; Politiche della società civile
Introduction au dossier du n°22 de Laboratoire italien ; International audience
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« Sans recourir à la violence » : la société italienne face aux terrorismes et aux mafias (1969-1992) [introd. et coord. n° de : Laboratoire italien ]
International audience ; Ce numéro de Laboratoire italien entend analyser les réactions de la société civile italienne face aux violences terroristes puis mafieuses de 1969 à 1992. Ces violences sont d'abord provoquées par les terroristes d'extrême droite puis par certains groupes d'extrême gauche qui choisissent la lutte armée et mènent de nombreuses actions sanglantes. Au cours des années 1980, les terrorismes et les formes de violence politique diffuses sont peu à peu défaits par la réaction des institutions démocratiques et diverses formes de mobilisation venant de la société civile. Mais parallèlement, dès la fin des années 1970, le sud du pays est aux prises avec la violence mafieuse. Au-delà de la diversité des phénomènes et des différentes réalités territoriales, ces violences ont suscité au sein de la société civile italienne des formes de résistances aux caractéristiques communes, qui s'inscrivent dans une tradition de contestation, mais « sans recourir à la violence ». Dans l'analyse de ces moments où la société italienne a dû faire face à ces offensives violentes et où la démocratie a tenu, les réactions de la société civile n'ont que trop rarement été considérées : c'est à combler ce vide historiographique que ce numéro est consacré.
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« Sans recourir à la violence » : la société italienne face aux terrorismes et aux mafias (1969-1992) [introd. et coord. n° de : Laboratoire italien ]
International audience ; Ce numéro de Laboratoire italien entend analyser les réactions de la société civile italienne face aux violences terroristes puis mafieuses de 1969 à 1992. Ces violences sont d'abord provoquées par les terroristes d'extrême droite puis par certains groupes d'extrême gauche qui choisissent la lutte armée et mènent de nombreuses actions sanglantes. Au cours des années 1980, les terrorismes et les formes de violence politique diffuses sont peu à peu défaits par la réaction des institutions démocratiques et diverses formes de mobilisation venant de la société civile. Mais parallèlement, dès la fin des années 1970, le sud du pays est aux prises avec la violence mafieuse. Au-delà de la diversité des phénomènes et des différentes réalités territoriales, ces violences ont suscité au sein de la société civile italienne des formes de résistances aux caractéristiques communes, qui s'inscrivent dans une tradition de contestation, mais « sans recourir à la violence ». Dans l'analyse de ces moments où la société italienne a dû faire face à ces offensives violentes et où la démocratie a tenu, les réactions de la société civile n'ont que trop rarement été considérées : c'est à combler ce vide historiographique que ce numéro est consacré.
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« Sans recourir à la violence » : la société italienne face aux terrorismes et aux mafias (1969-1992) [introd. et coord. n° de : Laboratoire italien ]
International audience ; Ce numéro de Laboratoire italien entend analyser les réactions de la société civile italienne face aux violences terroristes puis mafieuses de 1969 à 1992. Ces violences sont d'abord provoquées par les terroristes d'extrême droite puis par certains groupes d'extrême gauche qui choisissent la lutte armée et mènent de nombreuses actions sanglantes. Au cours des années 1980, les terrorismes et les formes de violence politique diffuses sont peu à peu défaits par la réaction des institutions démocratiques et diverses formes de mobilisation venant de la société civile. Mais parallèlement, dès la fin des années 1970, le sud du pays est aux prises avec la violence mafieuse. Au-delà de la diversité des phénomènes et des différentes réalités territoriales, ces violences ont suscité au sein de la société civile italienne des formes de résistances aux caractéristiques communes, qui s'inscrivent dans une tradition de contestation, mais « sans recourir à la violence ». Dans l'analyse de ces moments où la société italienne a dû faire face à ces offensives violentes et où la démocratie a tenu, les réactions de la société civile n'ont que trop rarement été considérées : c'est à combler ce vide historiographique que ce numéro est consacré.
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« Sans recourir à la violence » : la société italienne face aux terrorismes et aux mafias (1969-1992) [introd. et coord. n° de : Laboratoire italien ]
International audience ; Ce numéro de Laboratoire italien entend analyser les réactions de la société civile italienne face aux violences terroristes puis mafieuses de 1969 à 1992. Ces violences sont d'abord provoquées par les terroristes d'extrême droite puis par certains groupes d'extrême gauche qui choisissent la lutte armée et mènent de nombreuses actions sanglantes. Au cours des années 1980, les terrorismes et les formes de violence politique diffuses sont peu à peu défaits par la réaction des institutions démocratiques et diverses formes de mobilisation venant de la société civile. Mais parallèlement, dès la fin des années 1970, le sud du pays est aux prises avec la violence mafieuse. Au-delà de la diversité des phénomènes et des différentes réalités territoriales, ces violences ont suscité au sein de la société civile italienne des formes de résistances aux caractéristiques communes, qui s'inscrivent dans une tradition de contestation, mais « sans recourir à la violence ». Dans l'analyse de ces moments où la société italienne a dû faire face à ces offensives violentes et où la démocratie a tenu, les réactions de la société civile n'ont que trop rarement été considérées : c'est à combler ce vide historiographique que ce numéro est consacré.
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« Sans recourir à la violence » : la société italienne face aux terrorismes et aux mafias (1969-1992) [introd. et coord. n° de : Laboratoire italien ]
International audience ; Ce numéro de Laboratoire italien entend analyser les réactions de la société civile italienne face aux violences terroristes puis mafieuses de 1969 à 1992. Ces violences sont d'abord provoquées par les terroristes d'extrême droite puis par certains groupes d'extrême gauche qui choisissent la lutte armée et mènent de nombreuses actions sanglantes. Au cours des années 1980, les terrorismes et les formes de violence politique diffuses sont peu à peu défaits par la réaction des institutions démocratiques et diverses formes de mobilisation venant de la société civile. Mais parallèlement, dès la fin des années 1970, le sud du pays est aux prises avec la violence mafieuse. Au-delà de la diversité des phénomènes et des différentes réalités territoriales, ces violences ont suscité au sein de la société civile italienne des formes de résistances aux caractéristiques communes, qui s'inscrivent dans une tradition de contestation, mais « sans recourir à la violence ». Dans l'analyse de ces moments où la société italienne a dû faire face à ces offensives violentes et où la démocratie a tenu, les réactions de la société civile n'ont que trop rarement été considérées : c'est à combler ce vide historiographique que ce numéro est consacré.
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